est le dérivé de autogame avec le suffixe -ie, du grec ancien αὐτός, aútos (« soi-même ») et γάμος, gámos (« union »).
L’autogamie à ne pas confondre avec l’allogamie, est le mode de reproduction des plantes. En effet la fécondation s’effectue sans le recours au pollen d’un autre individu mais simplement par l’union des gamètes d’un même individu.
Il s’agit d’une cellule reproductrice spécialisée dans la fécondation, c’est-à-dire la fusion avec un autre gamète complémentaire.
est le dérivé de autogame avec le suffixe -ie, du grec ancien αὐτός, aútos (« soi-même ») et γάμος, gámos (« union »).
L’autogamie à ne pas confondre avec l’allogamie, est le mode de reproduction des plantes. En effet la fécondation s’effectue sans le recours au pollen d’un autre individu mais simplement par l’union des gamètes d’un même individu.
Il s’agit d’une cellule reproductrice spécialisée dans la fécondation, c’est-à-dire la fusion avec un autre gamète complémentaire.
C’est la question à laquelle je me suis heurté, si l’homme était autogame, à quoi ressemblerait-il ? Comment cela fonctionnerait-il ? Quel serait ses nouvelles aptitudes ?
Durant mes recherches sur l’autogamie, j’ai découvert le lien très étroit que ce mode de fécondation entretien avec la pollinisation de certaines plantes comme la vanille. La pollinisation peut être allogame, donc l’ovule est fécondé par un autre individu du sexe opposé ou autogame et dans ce cas, le pollen va féconder les organes femelles des fleurs d’une même plante. Les plantes à fleurs étant pour la plupart hermaphrodites, elles possèdent alors les deux organes de reproduction : l’étamine (mâle) et le pistil (femelle).
C’est la question à laquelle je me suis heurté, si l’homme était autogame, à quoi ressemblerait-il ? Comment cela fonctionnerait-il ? Quel serait ses nouvelles aptitudes ?
Durant mes recherches sur l’autogamie, j’ai découvert le lien très étroit que ce mode de fécondation entretien avec la pollinisation de certaines plantes comme la vanille. La pollinisation peut être allogame, donc l’ovule est fécondé par un autre individu du sexe opposé ou autogame et dans ce cas, le pollen va féconder les organes femelles des fleurs d’une même plante. Les plantes à fleurs étant pour la plupart hermaphrodites, elles possèdent alors les deux organes de reproduction : l’étamine (mâle) et le pistil (femelle).
A l’origine du mot, la mythologie grecque et cette histoire qui raconte l’union entre Aphrodite déesse de l’amour et Hermès divinités de l’Olympe, messager des dieux, donneur de la chance, inventeur des poids et des mesures, gardien des routes et carrefours, dieu des voyageurs, des commerçants, des voleurs, des orateurs et des prostituées. Né sur le mont Ida à Troade, Hermaphrodite se baigna un beau jour dans une source d’Halicarnasse à Carie quand soudain, s’éprit de lui la naïade de la source Salmacis. Celle-ci vit ses avances repoussées par Hermaphrodite et fit le vœu que les dieux unissent leurs deux corps afin de n’en former plus qu’un. De la naît un être humain femelle et mâle doté de seins et d’un pénis.
@Hermaphrodite_Borghèse_endormie_musée_du_louvre
A l’origine du mot, la mythologie grecque et cette histoire qui raconte l’union entre Aphrodite déesse de l’amour et Hermès divinités de l’Olympe, messager des dieux, donneur de la chance, inventeur des poids et des mesures, gardien des routes et carrefours, dieu des voyageurs, des commerçants, des voleurs, des orateurs et des prostituées. Né sur le mont Ida à Troade, Hermaphrodite se baigna un beau jour dans une source d’Halicarnasse à Carie quand soudain, s’éprit de lui la naïade de la source Salmacis. Celle-ci vit ses avances repoussées par Hermaphrodite et fit le vœu que les dieux unissent leurs deux corps afin de n’en former plus qu’un. De la naît un être humain femelle et mâle doté de seins et d’un pénis.
L’hermaphrodisme simultané qui permet une autofécondation de l’individu, la fécondation des oeufs se fait alors par les spermatozoïdes de celui-ci.
L’hermaphrodisme juvénil précoce qui se manifeste chez des espèces animales gonochoriques à l’age adulte et qui ont une phase hermaphrodite. Néanmoins, ceux-ci ne produisent pas de gamète.
L’hermaphrodisme successif ou séquentiel est un phénomène qui s’opère chez certaines espèces tel que le poisson clown. En parallèle, il existe des processus ou l’individu change de sexe au cours de sa vie et cela à cause de la production de gamète mâle avant celle des gamètes femelles (les Huîtres). C’est ce que l’on appelle la Protandrie. L’opération opposée s’effectue également chez les Mérous qui naissent d’abord femelle puis deviennent mâle, c’est la Protogynie.
(Symbole créé par Johnny Vigné alias Caly Design)
Le gonochorisme est l’opposé de l’hermaphrodisme, il s’agit d’un mode de reproduction où l’individu n’est pas porteur de plus d’un sexe biologique, en l’occurrence femelle ou mâle. Chez certaines espèces comme le crocodile ou la tortue, la détermination du sexe est issue de la température du nid dans lequel sont incubés les œufs, de la densité de la population, de la disparition d’un partenaire et donc la place dans la hiérarchie (chez certains poissons) mais aussi en fonction de l’âge.
L’hermaphrodisme simultané qui permet une autofécondation de l’individu, la fécondation des oeufs se fait alors par les spermatozoïdes de celui-ci.
L’hermaphrodisme juvénil précoce qui se manifeste chez des espèces animales gonochoriques à l’age adulte et qui ont une phase hermaphrodite. Néanmoins, ceux-ci ne produisent pas de gamète.
L’hermaphrodisme successif ou séquentiel est un phénomène qui s’opère chez certaines espèces tel que le poisson clown. En parallèle, il existe des processus ou l’individu change de sexe au cours de sa vie et cela à cause de la production de gamète mâle avant celle des gamètes femelles (les Huîtres). C’est ce que l’on appelle la Protandrie. L’opération opposée s’effectue également chez les Mérous qui naissent d’abord femelle puis deviennent mâle, c’est la Protogynie.
(Symbole créé par Johnny Vigné alias Caly Design)
Le gonochorisme est l’opposé de l’hermaphrodisme, il s’agit d’un mode de reproduction où l’individu n’est pas porteur de plus d’un sexe biologique, en l’occurrence femelle ou mâle. Chez certaines espèces comme le crocodile ou la tortue, la détermination du sexe est issue de la température du nid dans lequel sont incubés les œufs, de la densité de la population, de la disparition d’un partenaire et donc la place dans la hiérarchie (chez certains poissons) mais aussi en fonction de l’âge.
Il serait un hermaphrodite simultané dont le genre serait déterminé par la température de son environnement, trop froid et son genre prédominant est le masculin mais trop chaud et c’est le genre féminin qui prédomine.
Son genre déterminerait son apparence, si le genre masculin prédomine, alors l’individu serait doté d’un pénis et d’un utérus. L’autofécondation de l’individu du genre masculin s’opérera selon le processus de la pollinisation comme l’exemple de l’abeille et la vanille.
Il serait un hermaphrodite simultané dont le genre serait déterminé par la température de son environnement, trop froid et son genre prédominant est le masculin mais trop chaud et c’est le genre féminin qui prédomine.
Son genre déterminerait son apparence, si le genre masculin prédomine, alors l’individu serait doté d’un pénis et d’un utérus. L’autofécondation de l’individu du genre masculin s’opérera selon le processus de la pollinisation comme l’exemple de l’abeille et la vanille.
Chez l’individu du genre féminin, l’autofécondation s’effectuera par l’auto-stimulation des parties génitales externes. Une fois l’orgasme atteint, celui-ci activera la sécrétion de spermatozoïdes présents dans la glande hermaphrodite telle la cyprine puis, ceux-ci n’auraient donc plus qu’à se diriger vers l’ovule pour finaliser le processus de fécondation.
Il serait aussi des hermaphrodites simultanés et le genre serait également déterminé selon la température ambiante ou vivrait l’individu durant les 4 premiers mois de la grossesse. On constate cependant une variante de la reproduction des Alligator mississippiensis (https://www.nature.com/articles/296850a0). Explication par le schéma.
Chez l’individu du genre féminin, l’autofécondation s’effectuera par l’auto-stimulation des parties génitales externes. Une fois l’orgasme atteint, celui-ci activera la sécrétion de spermatozoïdes présents dans la glande hermaphrodite telle la cyprine puis, ceux-ci n’auraient donc plus qu’à se diriger vers l’ovule pour finaliser le processus de fécondation.
Il serait aussi des hermaphrodites simultanés et le genre serait également déterminé selon la température ambiante ou vivrait l’individu durant les 4 premiers mois de la grossesse. On constate cependant une variante de la reproduction des Alligator mississippiensis. Explication par le schéma.
Comme tous les individus du premier et du deuxième genre, le physique des autogames souffrirait du processus de vieillissement et des transformations physiques qui s’en suit. On constaterait alors chez l’individu basé sur le genre masculin, les effets de la protérogynie ou protogynie, ce qui bloquerait ses capacités d’autofécondation et donc l’arrêt du cycle mensuel. Le processus de protogynie engendrerait une montée de testostérone et avec cela le développement de la musculature et une pousse anormale de la pilosité.
Comme tous les individus du premier et du deuxième genre, le physique des autogames souffrirait du processus de vieillissement et des transformations physiques qui s’en suit. On constaterait alors chez l’individu basé sur le genre masculin, les effets de la protérogynie ou protogynie, ce qui bloquerait ses capacités d’autofécondation et donc l’arrêt du cycle mensuel. Le processus de protogynie engendrerait une montée de testostérone et avec cela le développement de la musculature et une pousse anormale de la pilosité.
Chez l’individu du genre féminin, ce sont les effets de la protérandrie ou protandrie qui, tout comme le genre masculin, bloqueraient ses capacités d’autofécondation. Le cycle mensuel s’achèverait dès lors que la transformation serait terminée, mais les glandes hermaphrodites continueraient de créer des spermatozoïdes. Une perte de musculature serait alors constatée chez l’individu et avec cela le raffinement de sa silhouette. Une poussée d’œstrogène entraînerait le développement des hanches et un apport de graisse sur les cuisses et les fessiers de l’individu.
Chez l’individu du genre féminin, ce sont les effets de la protérandrie ou protandrie qui, tout comme le genre masculin, bloqueraient ses capacités d’autofécondation. Le cycle mensuel s’achèverait dès lors que la transformation serait terminée, mais les glandes hermaphrodites continueraient de créer des spermatozoïdes. Une perte de musculature serait alors constatée chez l’individu et avec cela le raffinement de sa silhouette. Une poussée d’œstrogène entraînerait le développement des hanches et un apport de graisse sur les cuisses et les fessiers de l’individu.